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Les dernières cases créoles de la Réunion
10 avril 2020

Les dernières cases créoles de l'Île de la Réunion - 1ère partie du livre de Paul Clodel Cochard

 

            Les dernières cases créole - Jaquette du livre Paul Clodel

 

                                                                          L'auteur....

te Capture Paul Clodel

Paul Clodel Cochard, est le père fondateur du mouvement traitïsme et néo-traitïsme, qui sont nés à l’Île de la Réunion en 1994. Son art pictural se décompose par des touches véhémentes de couleurs pures qui représentent des petits et des bandes de traits. Ces derniers sont déposés du bout du pinceau ou par des bandelettes sur la surface picturale. Ces recherches vont dans la lignée du pointillisme et en ce qui concerne sa composition, du divisionnisme. Ceci est sans équivoque sa partie illustrateur et peintre. Ce qui caractérise son côté littéraire va de paire avec la poésie. Paul Clodel veut démocratiser la poésie vers monsieur tout le monde. Non loin de penser à la poésie populaire d’un Jacques Prévert mais il offre un nouveau genre à travers ce livre, Les dernières cases créoles de l’Île de la Réunion. La poésie devient une écriture simple où le texte historique est un hexasyllabe, octosyllabe, alexandrin et un hexadécasyllabe. Ce dernier de seize syllabes est la marque du poète dans des romans-poétiques en préparations . Il utilise « l’enjambement » pour conter l’histoire.

L’artiste s’inscrit dans son univers artistique comme un essayiste du mouvement intitulé : le roman-poétique...  

 

                                                                       PRÉFACE

 

                                Les dernières cases créoles de l’Île de la Réunion

       Dans une époque moderne telle que la nôtre, en l’an 2020, on est en droit de se poser des questions sur les innovations dans le domaine architectural. Si certains constructeurs pensent que la case créole appartient au passé de la Réunion et qu'il est plus facile de les détruire, que de les remplacer par du neuf et du moderne. Nous contribuons, sans ne pouvant rien faire, à sa disparition.

La pléthore habituelle des livres est presque souvent racontée dans un genre de style à sauver la tradition. Cet ouvrage illustré de peintures et de poésies, par l’auteur lui-même, Paul Clodel Cochard. On n’y retrouve aussi des œuvres d’artistes-peintres et du lithographe Antoine Roussin. Dans ce livre, les souvenirs de ses cases créoles sont des témoignages poétiques, et qui les rendent hommage. Il est vrai, de jours en jours, la case créole va vers sa disparition. Nous devenons impuissant de ne pouvoir les garder près de nous, comme patrimoine architectural. La rénovation reste au domaine du propriétaire. Il reste un financement coûteux et c’est ainsi qu’on préfère les démolir. On y construit à sa place une maison moderne ou un immeuble, c’est plus rentable aux promoteurs immobiliers. Pourquoi ne pas réinventer ou bien d’innover des nouveaux plans de constructions afin d’en garder quelques cases créoles d’autrefois à aujourd’hui ?

Enfin ce livre noue la poésie de l’auteur au plaisir des découvertes architecturales. C’est aussi un plaisir de voir des images picturales autour de la case d’autrefois. Il reste un livre pédagogique. Nous avions élaboré l’image, pour que les pages donnent envie aux architectes de les sauver. Ce genre de construction sur la Réunion doit résister, pour la simple raison, elles ont du succès !

Association Paul Clodel(A.P.C)

 

          Capture de lambrequins

                                                       

                                                        INTRODUCTION

                  De la case en paille en la villa créole

           Vivre dedans la case en paille et construite par la main des esclaves malgaches. Ces derniers travaillent la paille maïs sans grain. Où autre vétiver, roseau, telle que la canne sèche. La pauvre case se tenant aux poteaux et qui dessèche. Elle peut se jouter aux fortes pluies pourtant s’en allant aux vents. C’est la cause inouïe du va vite préalablement, par une nécessité d’habitation. Il faut l’ultime nécessaire pour vivre l’intime dans cette abîme. Autrement elle vivrait par poussière si l’on ne bat son sol. Il n’y a guère d’eau qu’on acquière au source ras du sol. Il faut passer un balai sec sur un dur parquet marronne. Sur sa terre battue au blanc-bec, On frottait dur en bonne. La case tout en paille vêtue le protégeait du soleil. On voyait la tribu de marmailles qui grandissaient. L’éveil de chaque matinée pour aller couper les grands champs de cannes. Attendre chaque soirs, autour d’un lit de camp, voir le calme. La case de paille si misère prônait la pauvreté ! Il fut l’habitat qui l’ère sans moyen de la décréter. Construire au soir, vite, au mieux à la dite mesure la case, ô quel miséricordieux fit de sa parure ! On voyait les rats danser dans la paille, les couleuvres aussi. Puis quand vint la pluie sur les oreilles par le torchis qui fuit, on rêvait d’un cabanon solide, qu’il fallait construire ! Au choix qu’il fallait prendre par raisons du mieux, pour en déduire. Car la case en paille, est misère qui prône une pauvreté. Il est son seul habitat qui l’ère et sans but décrété. On en demande qu’à construire en mieux la dite mesure miséricordieux.

                                          Maître vous vivez votre case dure !

          Belle est la villa créole aux rochers, taillés par mains d’homme, telle est l’édifice. De très hautes portes et des jours sont perchés. Sa blancheur fait la beauté de la bâtisse. Leurs pauvres cases au village font pitiés. N’est comparable aux richesses du domaine. Elle s’accompagne d’autres cases à moitié embellies, construites par des bois des plaines. Et sa cuisine se trouve aux alentours. Elle est donc proche de la grande demeure. Une odeur de fleurs parfume cette grande cour pleine de charmes, de fruits, pleine de meures ! Tandis qu’un esclave arrosait le verger les servantes portant leurs robes du dimanche couvraient d’ombrelles ceux qui étaient hébergés. Ces Dames vêtues de robes à longue manches ! De jeunes et jolies femmes qui sont des parents à Dam’ Ombline, habitaient le domaine. Étaient aussi endimanchés des hommes blancs. Ils suivaient à pieds le cortège de fin semaine. Au domaine, on sentait la joie du bonheur. Une telle joie au cœur de bien vivre en harmonie, ça se voyait de l’extérieur. Les rires sur les visages devaient poursuivre. Les servantes ont été heureuses ici, n’oubliant la servitude, en moins dure ! Certains au teint clair sont des quarterons aussi. D’autres parlaient bien, le créole perdure !

                                                      La demeure des Villèle

           Composant de l’architecture Bourbonnaise, c'est l'abri du soleil et de la pluie, pure convivialité entre ami. Entre la case et le jardin, cette conversion d'espace aux apparats d'un genre mondain, hier, elle offrait sa place. La varangue bourbonnaise est devenue, au fil du temps, l'unique pièce à bien vivre à l'aise. Se situant tout au niveau du sol de la case et aussi présente au premier balcon hors-sol. La vue, ici, est surprenante. Ô outil par excellence, de décoration extérieur. Le lambrequin préférence bourbonnaise par ses auteurs, de l’architecture d'un pays, qui fait partie intégrante. Elle est devenue l’usufruit d’île bourbon prenante. Il jouxte l'harmonie créole, son rôle décoratif. Mais aussi par le contrôle des eaux d'écoulement actifs. Pièce maîtresse de la maison venant de l’auvent tôle. Ainsi ruissellent avec des fractions les eaux de la tôle, coulent l’encre des souvenirs à travers ce livre poétique.

      

        202-Vingt décembre

                          Paul Clodel Cochard «Vingt décembre» toile traitïste de 1995 (Col.privée).

                                      

                                              L’Histoire des cases en pailles

 

          La paillote de Paul Clodel Cochard

                                                                La paillotte de paille de Paul Clodel C.

           L’histoire de la case créole commence en l’an 1665, par des galions quittant l’ailleurs pour venir à l’île de romance : Bourbon. A présent, c’est l’Île de la Réunion. Ces navires français parcouraient l’Océan Indien à la recherche de nouvelles conquêtes dîles. De son ancien nom très honorant, le Duc de Bourbon, La Réunion succède à une île française perdue dans un Océan Indien. Elle a connu de maintes abordages, des hommes et des femmes, de tous les océans.

De ces navires, barquaient à l’accostage des esclaves, des colons et des charpentiers. Ils se comptaient comme les premiers colons de l’île. Ils faisaient partis d’ancien maîtres menuisiers et ils ont servi à la Compagnie des Indes.

 

L’Île Bourbon, aux abords des mille six-cent-soixante-dix

        Sur l’Île Bourbon, vers 1670 à 1671, l’abondance de travail sur les champs épuisait, ô jadis, les blancs colons ! Ils réclamèrent de France, au roi Louis XI n’ayant été à Bourbon, l’aide d’une main-d’œuvre complémentaire. Nous sommes ainsi au début de la Réunion mais sa richesse débute par l’esclavage.

En 1671, ce bon roi de France décida que cette main-d’œuvre se trouvait aux îles avoisinantes de Bourbon, il décida de prendre d’autochtones de grandes îles. Madagascar et les Comores sont près d’ici. De ce fait, ils élaboraient des captures du peuple malgache, au peuple comorien. Ainsi, commence la servitude et la dictature.

 

         Peuple malgache esclave

 

                 Leurs ancêtres esclaves font partis de l’histoire de Bourbon

        N’est guère là le pouvoir de les acheter, n’est là le pouvoir de les nourrir. De même les colons avaient le devoir de les abriter. A cela, il fallait construire par eux-même ! ou en faire construire par les prisonniers des villages d’esclaves de façon bois et de paille. Depuis le début de l’esclavage, nier les premières paillotes ou la case en paille ne serait négliger les premiers concepteurs de l’histoire de la case dès son origine. Certes réservée aux esclaves, par lueur, d’un échange de mains-d’œuvre à domicile. Mais restera le peuple de Madagascar, ceux-là, font partis primitifs à construire. A la Réunion, la case paillote de part sa modeste teneur au sol fut détruite. On va la naissance des paillotes Bourbon :

Au milieu du dix-septième siècle naissait, ça et là, des cases dites « tout de paille ». Elles étaient construites de paille de canne séchées et de feuilles de palmiste avec des entailles de bambou en calumet tressées ou posés. Amarrer au sol, ils étaient l’ossature de la case. Souvent c’était le vétiver qui orné le toit et les parois de l’architecture. Tous ces éléments avaient leurs places ici. On y construisait sur une grande partie de l’île, notamment dans les hauts, loin aussi que Saint-Paul, ville dans laquelle on investie. Ce fut aussi le berceau des petits villages en hauteur. On n’y construisait des cases en paille aux abords de la mer et sur des sols intérieurs. Aux environs des villes existaient aussi de nombreuses cases de pailles.

 

            98-Les dodo de Paul Clodel Cochard (huile-toile)10P

                                                                      Paul Clodel Cochard « Les dodos » 10 P. extrait (coll.privée)

                                                    Dans la case en paille

         Dans la case en paille construite par la main malgache qui travaille la paille maïs sans grain ou bien la canne sèche, vétiver ou roseau. Paillote qui dessèche, case tenant aux poteaux résistante aux pluies mais s’en allant aux vents. Quand vient le cyclone, offrant à Dieu sa vie c’est de refaire l’ultime besoin d’habitation, pour vivre l’intime abomination.

       Elle vit par poussière si l’on ne bat son sol, par de l’eau qu’on acquière à la source ras du sol. Un parquet marronne propre au balai sec frottant dur en bonne sur la terre blanc-bec. La case tout en paille protège du soleil sa tribut de marmaille qui grandit et qui s’éveille. Pour aller aux champs de cannes et de couper le jour les plants. Le soir vient le calme tout autour d’un lit de camp.

 

             La Réunion lontan Case en paille Rivière des Pluies  

              Case en paille de la Rivière des pluies (remodifiée par rapport l'originale)     

                                       La case misère

      La case misère prône d’une pauvreté à l’habitant qui l’ère, sans moyen de la décréter. A la dite mesure d’y faire construire en mieux sa paillote, tout en plus dure, ô quelle miséricordieux ! Les rats dorment dans la paille, la couleuvre vit ici, la pluie sur les oreilles, le torchis fuit aussi. Il faudra reconstruire un autre cabanon, mieux, pour en déduire au choix qui est pris de raisons.


           Ouragan Antoine Roussin

                                   La case de pailles cet habitat du pauvre !

      Les petits colons vivaient tant bien que mal dans des cases tout de bois. Leurs esclaves vivaient, eux, dans des cases de paille. C’était-là les pires conditions à vivre avec des rats. Cependant, les cases en bois et les cases de paille avaient le choix de sa destinée, que sont les saisons. Celles qui nous font si peur sont entre octobre et avril. Les créolesont peur pour leur maison pendantla période cyclonique aux tristes moments sobres !

Le cycloneestle destin des maintes proies du temps, surtout pour ces modestes pied-à-terre que sontles premières constructions d’autrefois.Beaucoup sont aux prises des vents et la peur s’est de les voir emporter. On comptait jadis beaucoup de victime pendant les cyclones. Aussi après toutes saisons cycloniques, les colons décidèrent de s’investir à nouveau dans les mains-d’œuvre, certes plus chers, mais qui sont plus spécifiques.

 

            10-cases créoles Cabanon 22x31cm- 1985-Paul Clodel

                             Case créole cabanon et aux dentelles de Paul Clodel Cochard (col. privée)      

                                Dès lors la case créole se perfectionne...

     Les maîtres charpentiers ont une formation de base. Tous ont été des constructeurs de navires. Leurs connaissances dominaient sur leurs notions. On assiste à la naissance qui chavire à celle des paillotes de l’Histoire des maisons. La case créole va naître dans toute l’île aux besoins de ces colons français de nation. Ils étaient venus comme planteurs sur l’île afin aussi de développer le café mais ce mode de culture était de courte durée. N’ayant plus de marché du café, ils se tournèrent vers d’autres plantes plus courtes : La canne à sucre. Cette dernière arrivait sur Bourbon et ce fut là l’effondrement d’une Compagnie. A cette dernière, celle des Indes et à laquelle la profession de charpentier dépendait de la colonie.

                                 Bourbon une colonie administrative

     La Compagnie des Indes étant dissipée, puis elle se remettait à l’administration royale. Les colons décidèrent dans l’année de remplacer le café par autres actions. Ils plantèrent la canne à sucre. Puis ils augmentaient leurs champs. Ils avaient fort besoin de main d’œuvre. Les colons, grâce à la canne à sucre, construisaient un plus grand village d’esclaves. Ils firent construire les œuvres par des charpentiers recyclés de la construction. Les cases se constituèrent en hâte. De même, pour ne pas perdre la production de la plantation de canne et l’acte d’aider tous les charpentiers aux constructions, les propriétaires obligeaient leurs esclaves à construire de nuit. Cela avait hormis des rébellions. Ce fut les pires conditions d’esclavage.

 

            23-La case de Bel Air- 22x31cm de Paul Clodel C

                                                     Case de Bel Air (Tampon) de Paul Clodel C.                                      

                              Les colons se construisaient leur case créole

      Avec les aides des charpentiers, les colons employaient toutes espèces de boiseries. Elles furent récupérées dans les sillons et dans les forêts ou même par diverses périphéries. On y faisait couper le bois par l’esclave et souvent c’étaient des filaos poussant aux bordures des plages de l’île ou des acacias qui sont par terre en tas. Les colons faisaient avec le bois des ossatures. Puis ils faisaient construire les habitations par les malgaches habiles d’assemblage. Ces esclaves revêtaient sur des longs sillons l’ossature de la case d’assemblage. Ils utilisaient le calumet de bambous comme le bois trouvé facilement dans la nature. Avec de solides cordages aux bambous, vétivers séchés ils couvraient l’ossature.

 

              12-Case créole Sainte-Anne- 22x31cm-P

                                                    Case créole de Sainte-Anne de Paul Clodel C.

                                                         La case se créolise

      La case créole en tôle est née du charpentier, de bois dont le rôle est là pour l’habiller. Elle tire sa révérence au bois de cryptoméria mais à d’autres bois d’essence des ravines d’acacias. On la cloue et on la charpente cette case qui fut montée, la voilà debout. Aux madriers qu’elle vante sa monture de bois à bout, la case se créolise. Après qu’on vient vêtir sa robe, elle métallise l’habitat d’avenir.

 

            21- Case grise gouache, 22x31 cm

                                          Case crole grise du Tampon ; 16ème de Paul Clodel C.

                                                         La grisâtre des tôles

     La case créole montée tout en bois dure se renferme de tôle mieux à vivre et elle perdure. Elle se protège par ses portes de natte des hautes forêts. Un parquet qui flotte à ses fenêtres colorées. La grisâtre des tôles séduit son habitat. Ce dernier s’invente des rôles aux couleurs de bons états ? Naturellement belle quand la case se dépeinte par ses frises actuelles au nom de lambrequin.

 

           08-Case aux fruits à pins- 22X31cm de Paul Clodel Cochard, 1989

                              Case aux fruits à pins Sainte-Anne de Paul Clodel C. (Col. privée)

                                                         La p’tite case créole

     La p’tite case créole sous ses airs étoilés paraît donc à l’auréole par son manteau entôlé. Case au trait typique, par sa feuille en métal qui est rouillée sous les tropiques, se protégeant tant bien que mal. La p’tite case créole qui naquit par les bateaux et par d’allure se flageole n’est plus peurs des cyclones venant d’en haut. Elle est fière et belle, elle séduit l’habitat de mon île. Ô la voir toute belle ! adieu la paille en tas.

 

             487-Promenade dans la nuit- 10P

                                             Promenade dans la nuit de Paul Clodel Cochard

                                                      La case est si fière

    La case est si fière, ô ! quelle prenne des airs de croire en sa matière ! Le fer blanc va de pair.Ô ! elle pleut de lumière ses couleurs du soleil. Au sombre elle est éphémère sous la lune en éveil. La vêtir d’une robe flamboyante à son toit aux deux pentes, l’enrobe dentelle à l’avant-toit. Telle marquise est si fine marquée d’un lambrequin qui assure sa peaufine : n’es-tu l’air arlequin ?

Un vent frappe la case

      Un vent frappe la case sous le toit en quatre vents et protégeant son embrase. Les vents chauds des brise-vents, d’alizé, vents et tempêtes, elles frappent la maison d’un cyclone tout en fête à la brise des saisons. Ne décollant aucune frise, aucune dentelle de bois si ornant l’entrée commune, ô !lambrequin est courtois ! juste faite de tôle, elle en entôle de sa fenêtre à ses volets, ah ! l’air circule et frôle le toit tôle et enfin cela va siffler.

A suivre...    

 


Atelier Paul Clodel Réunion: Exposition virtuelle -Destock'Arts 2019- - le traitïsme

Cotation de l'artiste: 50 € le point (- 30%)* (Exemple: 15 P (F) à 50 € le point soit (15x50 = 750 - 30%= 525 €) Voici ci-dessous les prix par format et dont les points sont à -30%: * Offre exceptionnelle jusqu'au 31/12/2019 Vente exclusivement à l'Île de la Réunion L'Atelier Paul Clodel est une page facebook & CanalBlog D'exposition permanent & atelier d'artiste-peintre: Contact: 0692 616 398 (sur rendez-vous S.V.P pour l'achat des toiles).

http://asspaulclodel.canalblog.com

             

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Les dernières cases créoles de la Réunion
  • Les dernières cases créoles de la Réunion Elles sont la représentation architecturale de la maison réunionnaise. Quelle fut de paille au début du siècle, de bois ou de tôles, le béton remplace ses cases et elles vont disparaitre aussi voici son histoire:
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